Devant la beauté des autres


Un intitulé en forme de contrepoint. Suzan Sontag nous rappelait que, “Devant la douleur des autres” les images de l’horreur, de la misère... et plus généralement celles qui suscitent la compassion, ne nous permettent pas vraiment de comprendre et d’intervenir, bien au contraire, elles construisent la fatalité. L’esthétisation du malheur refoule plus que tout notre capacité d’agir.
Au delà donc de la mise en spectacle du monde et de ses images-marchandises, il existe des mondes sensibles à découvrir, à partager, à travers l’infinitude des regards “ordinaires“ qui se croisent, nous parlent et nous font rencontrer davantage le réel et ses belles choses.
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Aux confins du Gers et des Hautes-Pyrénées


Des paysages qui doivent autant au travail des agriculteurs qu'à une nature immanente.
La beauté d'un paysage n'est pas une donnée en soi, mais le résultat d'une histoire et en particulier celle de ceux qui l'ont habitée et façonnée pour y vivre et qui, aujourd'hui encore, témoigne d'une activité productrice de richesse. (ci-dessus des céréales, ci-dessous de la lavande).
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